Muselière pour Griffon Nivernais

Muselière pour chiens de race Griffon Nivernais

 

Description de la race:

  • Historique de la race: Le Griffon Nivernais descendrait des chiens ségusiens utilisés par les Gaulois et des chiens Gris de Saint Louis. Ce chien connut une grande vogue pendant 200 ans, jusqu’au règne de LOUIS XI puis fut abandonné des meutes royales par Francois I qui lui préféra les chiens blancs. Un siècle plus tard, le Griffon Nivernais, appelé souvent «chien de pays» fut recréé à partir de sujets conservés néanmoins dans le berceau de la race.
  • Pays d'origine: France.
  • Caractère: C'est un très bon Chien courant, obstiné, combatif, mordant et vif. Grand accompagnateur et aide efficace des chasseurs, il est adapté à la chasse dans les marais et très résistant. Le Griffon nivernais est aussi utilisé comme chien de compagnie, même s’il vaut mieux le faire vivre à la campagne plutôt qu’en ville.
  • Tête: La tête est très sèche, légère sans être petite, un peu longue sans excès.
  • Oreilles: Les oreilles sont souples, attachées à la hauteur de la partie supérieure de l’oeil, assez dotées en poils, de largeur et longueur moyennes, légèrement retournées sur l’extrémité.
  • Yeux: Les yeux sont de préférence foncés. Regard vif et pénétrant.
  • Corps: Le corps est solide et assez long, plutôt étroit et soutenu, avec une bonne musculature, même si elle est peu apparente.
  • Queue: La queue est bien placée, portée en sabre et pas trop longue, plus fine dans la partie médiane, avec la pointe quelquefois un peu repliée vers le dos.
  • Membres: Les membres antérieurs vus de profil paraissent un peu en arrière de la verticale; postérieurs - de profil légèrement sous lui.
  • Poil: Le poil est long, hirsute et ébouriffé, plutôt rêche, dur, en aucun cas laineux ou frangé; couleur - de préférence grise loup, ou bien noire mal teintée, noire Marengo.
  • Taille: La taille varie de 55 à 60 cm pour le mâle et 53 à 58 cm pour la femelle.
  • Poids: Le poids fait environ 25 kg.
  • Défauts: Tout écart par rapport à ce qui précède doit être considéré comme un défaut.